Certains artistes n'aiment pas photographier ou peindre un individu
qui a eu de la chirurgie plastique. Ils trouvent que c'est difficile à
traiter parce que ça n'a jamais l'air... juste. Cette remarque me remet
en mémoire l'observation d'une astrologue qui affirmait qu'on ne peut
établir le profil astrologique de quelqu'un dont l'instant de la
naissance a été modifié par une césarienne.
Qu'est-ce qui est naturel, qu'est-ce qui est artificiel ?
Balayant ces fariboles humaines j'aurai tendance à penser qu'il y a "ce qui est". Disons : une entité en interaction avec les autres entités et l'environnement général. Cette interaction étant, par effet miroir, le principe même de l'existence de qui rapporterait l'observation, quelle que soit la profondeur et l'étendue de l'univers qu'il refléterait, le contraste et la finesse du calibrage de ses examens. Comme on mesurerait les dimensions de sa prison jusqu'à l'absurde.
Que reste-t'il alors ? L'esprit ? Comme un point infini qui ne s'arrête jamais.
Nous sommes un principe d'action... en action. Sitôt qu'on stoppe le temps, comme par exemple lors de la mesure du lieu et de la vitesse d'un électron en physique quantique, on perd les repères. Le temps arrêté n'a aucun sens.
Je suis un point infime de l'univers, planté au milieu de ses 800 octaves. Oui, il en contient à peu près ce nombre, considérant que la plus petite est l'électron et la plus grande l'étendue maximale du cosmos mesuré à ce jour. Alors : constat de l'observateur humain. Si je vais vers le minuscule visuel, tout s'accélère, alors que vers l'immense je m'englue dans un temps majestueux et d'apparence quasi figée.
Comme dans la musique.
N'est qu'en musique plus on monte en vitesse de vibrations plus ça devient lumineux, ça s'élève. Au contraire du grave, sombre, lent et profond, qui possède quelque chose du tellurique de la "roche mère".
Il y a là une inversion qui fait immanquablement penser à celle des couleurs lumières et des couleurs matières.... Devant nos sens ébahis.
Qu'est-ce qui est naturel, qu'est-ce qui est artificiel ?
Balayant ces fariboles humaines j'aurai tendance à penser qu'il y a "ce qui est". Disons : une entité en interaction avec les autres entités et l'environnement général. Cette interaction étant, par effet miroir, le principe même de l'existence de qui rapporterait l'observation, quelle que soit la profondeur et l'étendue de l'univers qu'il refléterait, le contraste et la finesse du calibrage de ses examens. Comme on mesurerait les dimensions de sa prison jusqu'à l'absurde.
Que reste-t'il alors ? L'esprit ? Comme un point infini qui ne s'arrête jamais.
Nous sommes un principe d'action... en action. Sitôt qu'on stoppe le temps, comme par exemple lors de la mesure du lieu et de la vitesse d'un électron en physique quantique, on perd les repères. Le temps arrêté n'a aucun sens.
Je suis un point infime de l'univers, planté au milieu de ses 800 octaves. Oui, il en contient à peu près ce nombre, considérant que la plus petite est l'électron et la plus grande l'étendue maximale du cosmos mesuré à ce jour. Alors : constat de l'observateur humain. Si je vais vers le minuscule visuel, tout s'accélère, alors que vers l'immense je m'englue dans un temps majestueux et d'apparence quasi figée.
Comme dans la musique.
N'est qu'en musique plus on monte en vitesse de vibrations plus ça devient lumineux, ça s'élève. Au contraire du grave, sombre, lent et profond, qui possède quelque chose du tellurique de la "roche mère".
Il y a là une inversion qui fait immanquablement penser à celle des couleurs lumières et des couleurs matières.... Devant nos sens ébahis.
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